produit portant atteinte à la vie des animaux : aliments bien sûr, mais aussi vêtements et accessoires à base de cuir ou de laine, produits cosmétiques testés sur eux. Le flexitarisme consiste quant à lui en l’adoption d’un régime quasi-végétarien, tout en s’accordant, de temps en temps, la consommation d’une viande ou d’un poisson de qualité, issus d’élevages respectueux de l’environnement et de la cause animale, et provenant idéalement de productions locales. Un dernier credo revendiqué par les locavores qui, en ne consommant que de la nourriture produite à moins de 200 km de chez eux, limitent l’impact de leur consommation sur l’environnement et font la part belle aux produits de saison. Privilégier sa santé Bien manger pour être en bonne santé, c’est ce que pensent les adeptes du bio, du sans gluten, du sans lactose et du tout cru. Plébiscité depuis quelques années, le bio permet de limiter la présence des nitrates, résidus de pesticides, produits chimiques, OGM et engrais dans les produits que nous consommons. Bien qu’à la mode, les régimes sans gluten et sans lactose ne devraient être réservés qu’aux personnes allergiques ou intolérantes. Si ce n’est pas votre cas, passez votre chemin ! Enfin, les crudivores prônent une alimentation 100 % crue, partant du principe que la cuisson détruit certains nutriments. Claire Bouc CLIMATS n°93 mars 2020 //19
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